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Bio

Connu aussi sous son pseudonyme Nalaz,  Nancy Lauzon est détentrice d’une Maîtrise en art (UQTR-2023). Artiste peintre autodidacte et artisane en métiers d'arts depuis plus de 30 ans, elle est aussi diplômée d’étude supérieure spécialisée en Arts (UQTR-2023), ainsi que, du programme court de deuxième cycle en Études Québécoises (UQTR- 2021) et  titulaire d’un baccalauréat en Arts visuels-Nouveaux médias de l'Université (UQTR-2020).  

 

Nalaz est récipiendaire de plusieurs mentions et bourses, dont; le 2e Prix (ex æquo) du concours du DESS en art du groupe URAV, (2022), la Bourse du MEES (2021), la Bourse Gosselin-Grondin (2020),  le Prix spécial du jury de la Bourse recherche-création - études supérieures en arts de l’URAV (2020) pour son projet virtuel Idiosyncrasie Contact Nature – Contre Nature. Ainsi que, d’une Mention d'honneur du Doyen du Décanat des Études de l'UQTR, en Arts visuels-Nouveaux médias (2018 – 2019). C’est par le biais de l’installation vidéo et de l’art sonore qu’elle tente de déstabiliser le spectateur et d’éveiller sa sensibilité sur les effets aliénants individuels, sociaux et environnementaux de l’accélération de la vitesse dans notre société.

 

Nalaz est une artiste en installation vidéo et en arts visuels médiatiques qui explore les perceptions visuelles et les temporalités multiples de l’hyper accéléré à l’hyper ralenti en installations vidéo.  Avec son art elle ouvre une porte à la réflexion intérieure concernant le phénomène de l’accélération de la vitesse  et la désynchronisation des rythmes temporels de nos réalités naturelles et sociales qui en découle. Ses œuvres vidéo installatives proposent aux spectateurs de vivre l’œuvre selon de nouvelles perceptions de notre réalité. Dans une critique sociale poétique non moralisatrice, elle présente, avec son art, sa vision d’une société construite sur l’excès de performance, en quête de toujours plus d’accélération de la vitesse, dans laquelle nous acceptons de vivre. Ceci, indépendamment de notre rythme circadien, de nos valeurs personnelles ou de nos besoins fondamentaux et des désastres environnementaux qui en découlent.

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